Les Enfants de Don Quichotte ou les "dons qui choquent" ???????
Bonjour.
Que pensez vous de la gigantesque idée ultra mégalo de mr Borloo (ministre de la. Cohésion sociale...)d’implanter un "beffroi" au cœur de sa place ????
Regrettable que la presse ne parle pas plutot des commerces de Valenciennes en déficit depuis ses "grands travaux"...Et qu elle ne montre pas les devantures des magasins qui affichent "MR BORLOO DES PLACES DE STATIONNEMENT SVP."
Avec tous les quartiers en difficultés et les populations défavorisées qui se trouvent sur Valenciennes et le valenciennois ? N’y-a-t’il rien d’autre de plus utile à faire avec ces 615 000 € ????????????
Quant à Lille.................Mme Aubry,elle,a des "elephants".......... et un futur TGS de 450M d’€.
"La maire (PS) de Lille Martine Aubry, a visité le camp hier après-midi. Outre son soutien, elle a promis, à leur demande, des barrières pour éviter les intrusions"(20 minutes)
...Mais avec le prix de "ses elephants" qu aurait elle pu faire de cette somme ??????????????D autre que d offrir des barrieres pour eviter l’invasion.................
On fait du superflu lorsqu’on ne sait plus quoi faire de l’argent des autres...............
martin isabelle
14 rue du doignon
59530 Frasnoy
DÉTAIL D’UNE BRÈVE
Culture - 22/12/2006
Nord-Pas-de-Calais. Valenciennes s’offre un beffroi d’avant-garde
La commune de Valenciennes a décidé d’implanter un beffroi stylisé au cœur de sa place d’armes, devant l’hôtel de ville. Il s’agira d’une immense flèche en acier inoxydable de 45 mètres de haut, conçue par un artiste sarthois, Jean-Bernard Metais. La structure sera éclairée de l’intérieur, la lumière s’échappant par des lettres découpées dans la paroi. L’œuvre sera implantée à l’issue de l’opération Valenciennes capitale régionale de la culture, portée par le conseil régional. Ce dernier co-finance ce beffroi à moitié avec la ville, pour un coût total de 600.000 euros. “Le beffroi de Valenciennes était tombé de lui-même à la fin du XIXème. Dans la mesure où nous menons tout à la fois un projet de rénovation urbaine, économique et sociale, c’était le bon moment. Une ville se nourrit aussi de symboles”, indique à la Gazette Dominique Riquet, le maire de Valenciennes, qui souligne que le projet a fait l’objet d’un choix unanime du conseil sur le plan artistique.
Olivier Ducuing
La Voix du Nord - 21/12/2006
MONUMENT
Au coeur de Valenciennes, en 2007, une flèche symbolisant le beffroi
La ville de Valenciennes le voulait. Une oeuvre d’art symbolisant l’ancien beffroi disparu, un monument qui marquerait, en point d’orgue, la rénovation totale du centre-ville qui a accompagné l’arrivée du tramway. Mardi soir, le conseil municipal a choisi et l’artiste plasticien et le projet.
Spectaculaire.
PAR TH. TERSCHLUSEN region@lavoixdunord.fr REPRO « LA VOIX »
Dans un an, pile, puisque l’inauguration est prévue dans 365 jours, ce sera le nouveau jeu à la mode sur la place d’Armes : repérer l’heure au vu de la fine ombre projetée à travers tout le coeur de la cité. Le 21 décembre, la place sera transformée en cadran solaire, par la grâce d’un seul et unique objet d’art, mais monumental.
45 m de haut
Concorde, son nom de baptême provisoire, marquera la fin de la saison 2007, Valenciennes capitale culturelle régionale. La flèche, à peine plus de 2 m à la base, 45 de haut, imaginée par le plasticien sarthois Jean-Bernard Metais, projettera sa pointe à 15 m au-dessus de la façade baroque de l’hôtel de ville. Sa structure en inox portera, découpés en spirale dans le métal même, les mots que les Valenciennes voudront bien transmettre à l’artiste.
La nuit, son éclairage interne la transformera en parchemin vrillé dans le ciel.
Confronté à un emplacement « difficile », où bâtiments classés et immeubles d’après-guerre se font face, le plasticien a choisi la simplicité. Son choix a commencé par… simplifier les débats au conseil, après avoir fait l’unanimité du jury de concours. En retirant peut-être une (sacrée) aiguille du pied de Dominique Riquet, maire. L’ancien adjoint à la culture, qui a pris la relève de Jean-Louis Borloo, a porté le projet contre vents et marées. Il avait déjà dû batailler ferme pour sauver de la réduction des crédits européens la rénovation de la place d’Armes. Ici, le coup de pouce décisif est venu du conseil régional qui, avec Valenciennes 2007, a pris en charge la moitié des 600 000 E de budget que coûtera l’oeuvre d’art.
Mardi l’opposition de gauche s’est abstenue. Le PS a trouvé que ce n’était pas l’heure, dans une ville qui vient par deux fois d’augmenter ses impôts locaux. Dominique Riquet a persisté et signé : « Une ville se nourrit aussi de symboles. » Pour lui, la flèche se confondra avec l’image de la ville rénovée. « Où que l’on soit, quand on la verra, on saura qu’on est à Valenciennes . » •
C’est cônique mais ça ne les fait pas tous rire
Une Concorde qui pourrait mener à la discorde. Le conseil municipal de Valenciennes a entériné, mardi soir, la construction d’un monument de 45 m de haut au centre de la Place d’Armes. « Valenciennes est la seule ville de cette importance à ne plus avoir de beffroi dans le Nord, explique Patrick Roussies, adjoint à la culture. Mais nous ne voulions pas en construire un. Alors, on a opté pour un monument. Mais attention. C’est pas une bricole ! »
D’un coût de 615 000 e, le cône – baptisé Concorde – dépassera en effet tous les bâtiments de la place de près de 15 m. Président de l’Union du commerce, Jean-Luc Dremière, est inquiet de ce qu’il appelle déjà le « Monstre du Loch Ness » car ni la population, ni les boutiques du centre n’ont encore vu d’ébauches de l’oeuvre de Jean-Bernard Métais. Pas d’inquiétude puisque l’artiste compte les solliciter : « Je vais leur demander des mots qui qualifient Valenciennes et les inscrire sur la Concorde. » L’inauguration de l’édifice est prévue dans un an.